Pourquoi John Stid ?

C'est en fait un de mes tout premier pseudo, alors que je préparait un DUT ... STID (Statistiques et Traitement Informatique des Données) sur le vénérable mIRC.

Il fallait en trouver un, avec mes études d'alors, et mon prénom plus ou moins déformé, et c'est tombé sur un homonyme du compagnon d'aventure d'Emma Peel.

Et puis, le costume noir, chemise blanche, cravate noire fait partie de ma garde-robe régulière, quand je travaille pour Lui. Bon j'en suis pas encore à la canne, rassurez-vous.

samedi 31 mai 2008

Questions d'ambiance

Au cours de ces derniers jours, j'ai traversé avec bonheur, plusieurs ambiances :

- celle d'être complice du cadeau de la fête des mères. La première fois que Chiara m'a récité le poème pour l'occasion, j'en avais les larmes aux yeux. Un petit bout de femme de 3.5 ans prendre dans sa main, le support où était écrit celui-ci, et le déclamer avec tant de naturel en faisant comme si elle le lisait (non, ce n'est pas parce qu'il était question de chocolat et de nougat que cela m'a touché). Alors je m'imaginais déjà la réaction de la maman en question à l'écoute de ce beau poème.

- celle de la détente, en se prenant le temps de travailler dans le jardin, de se retrouver avec les voisins pour discuter quand la chaleur du jour est tombée. L'instant d'une soirée, je me suis retrouvé en vacances.

- celle du rapprochement au boulot entre les deux sous-service lors du film. Etre avec les collègues dans un contexte autre, a été très agréables.

- celle des caricatures de films : attendre le dernier délai pour apporter sa déclaration d'impôt. Le ballet des voitures dans la nuit tombante, ou chacun se précipite vers la devanture du bureau, cherche fébrilement la boîte aux lettres, redémarre aussitôt, et déjà le suivant attend pour prendre la place. Je n'était décidément pas le seul à avoir tarder.

- celle de jeunes mariés, le temps d'une matinée : en allant tout simplement faire les courses sans les enfants : un régal !!! Pas de pause pipi, pas de traînage de pied. Et puis surtout de pouvoir se retrouver en tête à tête, même si c'était pour deux heures. Cela faisait tellement longtemps.

- celle des fêtes d'école. Etre un papa tout fier de sa progéniture qui se trémousse sur scène, qui lui montre sa joie, son bonheur de la voir évoluer déjà si bien avec ces copains et copines d'école.

Carpe diem, qu'ils disaient !!!

Silence ... Moteur ... Action

Ce jeudi, au boulot, nous avons travaillé d'une façon inhabituelle :

Accoutrements bizarres,





Freinage au frein à main dans la cour intérieure (le propriétaire de la mégane bordeaux a du avoir chaud),



Squat de salle-client, ...



Pour promouvoir les nouvelles valeurs de la firme, nous avons tourné un petit film d'une minute trente secondes. Le thème était imposé, mais le scénario, les personnages, les lieux et décors, etc. étaient à créer. Un investissement sur 2 semaines à 8 personnes pour l'écriture du scénario, et une bonne après-midi de tournage dans la bonne humeur pour tout le service.
Cela a été profitable pour rapprocher les personnes des deux sous-services car nous ne travaillons jamais ensemble (dans le process, nous intervenons en tout début ou toute fin mais pour des choses bien distinctes). Bref !!
Tout le monde s'est pris au jeu, s'est investi dans son rôle, et avec une heure d'avance sur le timing prévu nous avons fini notre tournage.

D'un autre côté, nous avons pu nous frotter au côté technique du tournage : maquilleurs, cadreur, réalisateur, ingénieur du son, ... C'était vraiment intéressant.
Par exemple, le réalisateur fait le point avec les acteurs et le cadreur, qui lui fait 1-2 simulation de prise pour voir sa progression, puis prend 2-3 prises de chaque scène. Les "cuts", les points de vue ("subjectif", ...).
Il faut faire attention aux reflets dans les vitres, les lunettes, la qualité de l'éclairage, ...

Une bonne expérience dont tout le monde attend avec impatience la version finalisée (montée, avec la bande-son, les habillages).

mardi 27 mai 2008

Première discussion de gars


Louis : "Ah, c'est ça ton cabriolet pour cet été !! Pas mal en bleu. Et en plus, en dessous, il y a la couchette. Et ça avance bien dans les montées ?"
Timéo : "Ben oui, si c'est l'autre là-bas qui me roule, c'est sans problème !!"

Après le Christ de Corcovado ...

... qui domine Rio, voici Timéo dans ses oeuvres, sur son tapis :

Une bière et des chips, et que ça saute !!!


Bon alors, ça vient ?

Ne pas dévoiler un secret

C'est un nouveau jeu auquel Chiara se confronte en ce moment : voyez par vous-même. Que cache-t-elle, que la maîtresse ne doit pas voir sur les photos ?




Même pour le cadeau de la fête des mères, elle a su garder le secret jusqu'au bout. Elle m'a épatée sur ce coup-là.

Chiara à Luxembourg

Pour ces fameux petits boutons, nous sommes allés à Luxembourg les faire enlever : sage comme une image, elle n'a rien dit, sauf pour le dernier qui ne devait pas être anesthésié.

C'est juste mes bras qui ont souffert : elle n'arrivait pas à marcher à l'aller, les jambes emballés dans du plastique pour bien maintenir la crème anesthésiante, et au retour, c'est un gros bandage qui lui serrait la jambe, pour maintenir les compresses en place.


Alors quand les bras ne tiennent plus le choc, les épaules prennent le relais, et les belles façades vitrées donnent lieu à des photos-souvenirs.

Femme au volant ...

... dégâts en reculant.



C'est mon assureur qui va être heureux !!

vendredi 16 mai 2008

Sigmund, pas Freud

Billet sponsorisé par Cédric

Des sites parlant de bébés, il y en a légion, entre celui de Baptiste, celui de Timéo, etc. Mais celui dont Cédric m'a envoyé l'adresse, aborde la chose sous un angle plus sarcastico-humoristique. C'est l'histoire de Sigmund, charmant enfant, et de ces jouets de bain, qui ont entrepris d'échapper aux griffes de ce bambin.


Allez-y, ça vaut le coup d'oeil !!

mercredi 14 mai 2008

Le fossé des générations

Cannibale

Prenez une maman avec un petit grain de folie.

Rajoutez-y l'envie de faire goûter à ces enfants de tout, et vous obtenez des têtes de bonhomme à croquer.


Marche à l'ombre (ou rien n'est de trop pour Louis)

Lundi, c'était la première sortie au Mont Arry pour Louis. Une fête pour Louis : toute la journée en plein air. Mais vu le soleil qui tapait dur ce jour-là, il fallait qu'il puisse être le moins exposé possible. Heureusement, Papy Marcel veille :


Merci Audrey !!

Des bulles !!

Prenez une gentille tata qui souffle, un peu d'eau, de produit vaisselle, un anneau, deux marmots, et vous obtenez des enfants en extase devant des bulles de savons :


Il leur faut si peu, et nous tant pour être heureux !!

Motivation

Prenez une tablée d'enfants avec des assiettes bien remplies.


Comment les motiver à ne rien laisser ? En promettant un dessert surprise.



Eh oui, le chamallow grillé au barbecue a encore de beaux jours devant lui, n'est-ce pas Maelys ?

dimanche 4 mai 2008

Notre petit aventurier

Pour Louis, découvrir le monde du dehors est très intéressant. Faire la transition entre le sol dur de la terrasse, et la pelouse bien tendre, partir en expédition au fond du jardin pour escalader les trois marches, marcher sur la pelouse, escalader le moindre dénivelé ... autant de défis à relever pour notre petit découvreur.



Quel look !!

Premiers rayons

Pour mettre un peu de magie dans de simples pâtes bolognaises voulues par Chiara, nous avons profité de ce premier jour de beau temps chaud, pour nous installer en terrasse : quel bonheur !!!




Même Louis en a profité !!


Une passion de père en fils

Il fallait bien un sujet pour vous présenter une photo de Louis avec sa bonne paire de lunettes. Et l'excuse est toute trouvée, à part l'écran de la télévision, Louis a une deuxième passion les briques de construction (je ne cite pas la fameuse marque, parce que cela n'en ait pas - vous avez vu comment je ne cherche pas à vous tromper, hein ?-) : emboiter, casser, reconstruire, de temps en temps goûter, puis empiler, etc ....


Je sens que l'on va bien s'entendre et que l'on s'amusera bien ensemble plus tard !!

Propagande

Amis lecteurs, on cherche à vous tromper. Certains "concurrents" malhonnêtes, n'hésite pas à chercher à tromper mes lecteurs sur la qualité des images transmises.

Ainsi, certains autre rédacteurs cherchent à vous gruger. Sur cet exemple, on peut voir que l'objectif de l'appareil photo est fermé, feignant de prendre votre rédacteur en photo.

Il a fallu que pour vous je me batte, et que j'obtienne réparation au travers d'une photo où l'objectif est visible (si le petit carré noir).

Soucieux de la qualité de ce que vous voulez lire*, n'hésitez pas à ne lire que ceux qui se battent pour ne pas vous flouer ou vous tromper. Exigez john-stid, parce que john-stid qu'en il trafique l'information, il le fait bien.

* : s'entend hors fautes de frappes, de grammaires, d'orthographe, parce que je ne prends jamais le temps de me relire.

un frère "de Fonzie"

Je n'ai pas pu résister : même au Moyen-Age, ils étaient modernes. En témoigne ce moine "cool".



Pour être sérieux : ce signe me dit quelque chose, et si quelqu'un peut me renseigner sur la signification de ce geste religieux, je suis preneur. Je ne vois pas comment formuler ma recherche sur les moteurs dédiés.

Un pont scolaire

Merci le Luxembourg et ma boîte, pour nous octroyer le grand week-end de l'Ascension.
Cela a été l'occasion pour moi de me confronter à ces chères petites têtes blondes dont s'occupe Aline sur le temps scolaire.
Petite mise au point de départ : "C'est monsieur P., ce n'est pas votre copain, Mme X, la maman de ... n'est pas non plus votre copine, mais elle nous accompagne. C'est compris ?"

Après cette petite mise au point, c'était parti pour une journée de vadrouille dans Metz sous un beau soleil : de la médiathèque jusqu'à Borny-village (si, si il n'ya pas que la cité) en passant par un rallye-photo dans les rues, la visite du musée de la Cour d'or, de la crypte de la cathédrale, les bas-reliefs de la grande dame pour terminer rue Taison : un itinéraire quasi exclusif pour le Graoully et les créatures imaginaires.


Après un transfert en bus et un peu de marche, voici l'heure d'un bon repas. Puis, re-marche jusqu'à l'école des correspondants, visite des classes, de l'école et re-marche jusqu'à un grand espace pour pouvoir user ces dernières forces : le voyage du retour a été très calme, même pour les plus bavards. Bref, une journée où on a ... marché.

Cela m'a fait beaucoup de bien le contact avec ces petits cancres, pas si cancres que cela, qui savent encore écouter, obéir, se ranger, marcher plus ou moins en rang (on n'est pas à l'armée quand même). Et puis, j'ai eu l'insigne honneur d'être appelé "Maître". De quoi flatter un peu mon ego, et de me demander si j'aurais pu devenir un bon pédagogue. Et puis le temps d'après de signifier à mon jeune interlocuteur que je n'étais pas maître, et de le mettre dans l'embarras : comment allait-il m'appeler ?

Pour conclure, d'une participation pour faire plaisir, j'en ressors avec l'envie de participer à la prochaine sortie : c'était vraiment sympathique.

Ah, les instituteurs, décidément même étant moi-même plus vieux, je les respecte et admire encore ...