Pourquoi John Stid ?

C'est en fait un de mes tout premier pseudo, alors que je préparait un DUT ... STID (Statistiques et Traitement Informatique des Données) sur le vénérable mIRC.

Il fallait en trouver un, avec mes études d'alors, et mon prénom plus ou moins déformé, et c'est tombé sur un homonyme du compagnon d'aventure d'Emma Peel.

Et puis, le costume noir, chemise blanche, cravate noire fait partie de ma garde-robe régulière, quand je travaille pour Lui. Bon j'en suis pas encore à la canne, rassurez-vous.

vendredi 28 septembre 2007

C'est qui ? C'est où ? - épisode 2


2 par 2

Le dimanche, jour traditionnel de la famille nous a permis de faire un tour dans la belle famille.
On a pu y rencontrer les petits neveux et nièces. Avec un de mes beaux-frères (le frère d'Aline), on a eu des enfants assez rapproché :


Aïana et Chiara en extase devant la télécommande. Eh, c'est sur la télévision que se passe l'action !! Et vive les dessins animés !!

Et les derniers venus, Aïdan et Louis, qui posent pour la photo.

mardi 25 septembre 2007

La (presque) première fois

Je voyage beaucoup les dimanches pour Lui, mais ce dernier, j'ai eu l'occasion de prendre, pour ma première fois, Louis et Chiara chacun dans son siège sur le chemin du retour de l'église.

Jusqu'à présent Louis voyuagait en Maxicosi, mais monsieur ayant grandi, il a les pieds qui dépassent bien maintenant. Alors tout fier, en repartant de l'église, je les installe dans leur siège respectif, fais une photo pour immortaliser la chose, tout fier de moi.

Tellement fier que j'en parle à Aline qui avait pris l'autre voiture pour aller à l'église.

"-Ah, mais oui, j'ai déjà mis Louis dans le siège, je sais comment c'est !!"

Et voilà, moi on me dit rien, on me cache des choses :-)

Aimer en actes


Dimanche, à l'église il était question d'aimer en actes et pas seulement en paroles. Celui qui aime, ne le dis pas seulement, il cherche à le démontrer, et à faire tout ce qui est en son pouvoir pour rendre l'autre heureux.


Celui qui prouve son amour uniquement en mots, fini par faire perdre sa saveur à ce sentiment seulement transcris en mots. Mais celui qui agis par amour, prouve par A+B qu'il aime véritablement.


On peut dire à autrui que l'on aime, même si ce n'est pas vrai, mais on peut plus difficilement faire tout pour faire plaisir à autrui si on ne l'aime pas.

Nouvelle catégorie : C'est qui ? C'est où ?

J'ai un papa retraité qui atrouvé comment s'occuper. Il scanne toutes les photos anciennes qui lui tombent entre les mains, pour en garder une trace numérique.
De temps en temps, j'esayerais de mettre l'une ou l'autre photo, pour vous replonger il ya quelques temps de cela. Charge à vous de retrouver qui est dessus, et de quand date la photo.


Allez, un premier essai tout facile :




Alors vous avez trouvé qui est-ce ? Mais si, un chat aussi gros et pantouflard, cela ne s'oublie pas !!

vendredi 21 septembre 2007

21 septembre 2007

21 septembre, journée internationale de la paix : à ce que j'ai pu entendre ces derniers jours, le nombre des conflits majeurs a diminué sur la terre. Malheureusement, la barbarie de l'homme n'a pas diminué et les conséquences de ces actes de guerre restent toujours plus catastrophiques.

Alors, aujourd'hui Peace. And Love on verra un autre jour !! :-)

jeudi 20 septembre 2007

Que veux l'homme ? (ou comment penser à autrui pendant ses congés)


Aujourd'hui, c'était congé : rangement, nettoyage, mise à plat tel était le programme.

Et ce matin, en écoutant les informations, un sujet a retenu mon attention : une actrice est partie en voyage en Suisse pour mettre fin à ces jours de maladie, recherchant "la paix de la mort". Cela m'a torturé l'esprit dans la matinée :
Oui, elle souffrait et comme les gens dans sa situation, elle avait certainement envie que tout s'arrête pour souffler. Je ne sais pas si elle était croyante, mais elle pensait peut-être trouver le repos au paradis. Et puis si c'est son choix, ....


Non, on ne peut pas prendre la vie que Dieu donne, elle n'ira pas au paradis, mais se retrouvera là-haut avec ses penchants humains, etc ....


Bref, cela tourbillonnait en moi toute la matinée.

Comme tout bon jour de congé, qui plus est sans les enfants à la maison pour pouvoir agir efficacement, je déjeune plus tard, devant France 2, et l'émission de Delarue. Le sujet du jour : je porte la responsabilité de la mort de mon enfant.

Des mères et des pères se succèdent pour raconter : "mon jeune fils était avec moi sur le tracteur pour débroussailler, et il est tombé entre le tracteur et la débrouissailleuse sans que je le remarque", "mon fils s'est noyé dans la piscine sans que j'y fasse attention", "J'ai laché la corde de la luge de mon fils, et il s'est tué en contrebas", "J'ai grillé un stop et ma fille en est morte, frappée par une voiture", .....

L'émission m'a ému : de voir ces personnes se tourmenter en remords, ne pas arriver à passer le cap, ressasser sans cesse ses souvenirs, chercher continuellement le réconfort chez leurs proches, .....


Décidément, entre ces deux conceptions de la mort, l'Homme ne sais vraiment pas ce qu'il veut !!

Un lieu m'est cher ...


Mercredi soir, lors du service divin, il était question d'être consolé par Dieu dans sa maison, comme une mère console l'enfant qui vient la trouver après une chute. L'image de la mère était très présente, et d'ailleurs je garde en mémoire, un souvenir de la mienne, il y a seulement une dizaine d'années en arrière, alors que j'étais blessé (dans mon amour propre), et qui a su me remettre sur les rails.
Bref, en allant pls loin que l'image de la mère, il était question de venir dans la maison de Dieu pour y trouver le réconfort et la juste vision des choses. J'ai repensé alors, à ce lieu qui m'est cher ou j'ai déjà vécu des joies, l'église de ma communauté.
J'y ai vécu de belles joies : les baptêmes de Chiara et Louis, ma confirmation, mes mercredis et samedis midi, ou au lieu d'aller manger à la cantine, j'allais tenir compagnie à Omi en jouant de l'orgue, les venues de l'apôtre patriarche à Algrange, ma première prestation ("Joyeusement, fêtons l'Avent" avec le choeur des jeunes frères qui s'en souvient ?)....
J'y ai aussi vécu des moments forts de tristesse, mais pour lesquels j'ai su par après me relever. Chronologiquement, le premier dont je me souviens et le départ des Nietzschmann pour le sud de la France. J'étais tout petit, mais c'était comme si on m'enlevais quelqu'un de la famille (bien que n'ayant pas de liens particuliers avec eux), un 446 dans le recueil de chants, avec une gorge nouée. Puis, il y a eu les obsèques du père de Cyril (la première fois que je voyais Nonna pleure), un certain samedi après-midi de mars 1998, où je mis suis réfugié et confié ne supportant plus de voir Omi souffrir, les obsèques de Nono, Nonna, Omi, ..., l'annonce du décès d'un certain Robert Higelin, ....
L'essentiel est que malgré les absences de l'un et de l'autre, l'espoir est là, que tout ne s'arrête pas là. Les souvenirs tristes restent certes, mais s'émoussent petit à petit, heureusement. La roue de la vie tourne et nous fait voir de nouvelles choses, et ainsi va la vie.

lundi 17 septembre 2007

Bien débuter la semaine

Comment bien débuter la semaine ? Par une course chez la tata nounou, parce qu'on est déjà en retard et c'est lundi matin. En repartant de chez elle, finalement, je ne suis pas si en retard que cela. J'arrive au P+R, et je n'ai même pas à attendre le bus. Ma collègue m'appelle, malade, elle ne viendra pas avant jeudi. "OK, requinque-toi bien."

Mais au fait, mon PC portable est dans l'armoire fermée dont la clé se trouve ..... dans le tiroir fermé à clé de ma collègue !!!!

Pas de panique, je donne formation dans 50 minutes, j'ai pas de PC, et apparemment je ne suis pas prêt d'y avoir accès. Heureusement, la situation se décante, et c'est commme si je revivais.

Qu'est-ce que l'on peut ête dépendant de ces choses-là !!

La matinée se déroule sans accrocs notables.

Cette semaine, pour me mettre en forme, et prendre soin de mes courbes (mais si, les tablettes de chocolat fondu), j'ai pris la bonne résolution de faire du sport. Vers 13H, direction donc la salle de sport la plus proche pour une petite séance de badminton avec Jérôme.

Oui, je sais c'est mal, j'ai fait du sport et en plus j'ai aimé cela (je préciserai mardi matin, si j'aime toujours autant avec les courbatures). Après l'effort, une bonne douche, et franchement j'étais en pleine forme pour toute l'après-midi : alors, c'est vrai ? le sport fait que l'on se sent si bien après ? Non, c'est pas possible.

Bon, pour renouveller l'opération, il faudra patienter : le complexe sportif est fermé pour cause de tournoi, jusqu'au mois prochain. Cela tombe bien. Pas trop de sport tout de suite, sinon je vais vraiment finir par y prendre goût.

Un dimanche pour Louis

Une fois n'est pas coutume, un article sur le dimanche de monsieur Loulou. Comme sa grande soeur, lorsque c'est l'heure de manger, finie la rigolade : j'ouvre tout grand ma bouche et je manifeste mon appétit !!





Et vous pensiez que cela l'avait calé pour toute la journée. Mais non, il en fallait un peu plus pour Loulou : son premier quignon de pain. Malheur à qui lui l'enlève, Monsieur est très susceptible !!



Tous ces moments de table nous donnent au final, un petit Louis heureux, qui se repose, repu au soleil.

samedi 15 septembre 2007

Les premières activités de Chiara à l'école

Avec son entrée à l'école, il y a des activités que Chira fait et que nous ne faisons plus avec elle. C'est l'occasion le soir de la cuisiner un peu sur sa matinée à l 'école. "J'ai collé des autocollants sur les croix avec la maîtresse. On a joué avec les cerceaux dans la salle de jeux, ..." Elle s'y plait, et cela nous empêche de culpabiliser (ouah, tu abandonnes lâchement ta fille à l'école...).

Tout des préparatifs en douceur pour le jour où elle ira étudier au loin, où elle partira de la maison...

Pour s'y faire petit à petit, elle assiste aussi au cours du dimanche pour les tout-petits à l'église. J'attends, le jour ou elle va me demander "A quoi il ressemble le Bon Dieu?". A force de lui dire, on ne cours pas ici, parce que c'est la maison du Bon Dieu, ça va sortir, c'est sûr.



Commme c'est Tata Aline qui s'en occupe en partie, cela nous permet d'avoir un oeil indirect sur son comportement. Sage comme une image en cours et un vrai petit clown en collectivité :

Ah, cette Kiki !!

Abonnement


Je ne sais pas si les médecins font des cartes d'abonnement, il faudra que je me renseigne. Chiara ramène et partage ses microbes et les virus avec le petit Louis. Mardi soir, j'étais chez la pédiatre avec Chiara et j'y suis retourné jeudi soir pour Louis.
Enfin d'une manière générale, à tout rendez-vous programmé chez elle, suit un autre rendez-vous dans la semaine pour un autre bobo. Cela ne dérange pas Chiara comme cela elle peut jouer deux fois plus au toboggan.

Journée du personnel

Comme chaque année, tout le personnel de l'entreprise ou je travaille est invité à une (bonne demie-) journée à thême qui lui est dédiée.

Cette année c'était plutôt le thême écologique, agir responsablement pour la planète, ...

Tout d'abord, il a fallu un lieu à la taille de la firme (presque 1300 participants cette année) : la Rockhal d'Esch/Alzette. Arrivés pour l'heure du déjeuner, des buffets sont dressés : sandwichs, salades, desserts, boissons sont là, il n'y a qu'à se servir. Bon, vous me connaissez, je sui une peu difficile côté nourriture, alors le sandwich (il y avait toujours des sauces que je n'aimait pas), c'était pas terrible, les salades (ah ah ah !!), il ne restait plus que le dessert (miam, miam).

Résultat des courses, trois bouchées de sandwichs (fromage de chèvre, noix, miel, pommes, etc) et déjà le dessert (mousse aux deux chocolats) me faisait de l'oeil. Tellement bon, que je me suis nourris à cela.

Ensuite, réunion habituelle, avec les grands chiffres, le débriefing sur l'année, les objectifs, etc...
et cette année le départ touchant de notre ancienne cheffe (après ces 32 ans dans la même société).

Puis, il ya toujours une partie avec un invité d'honneur qui vient nous parler d'un sujet particulier : cette année, c'était Nicolas Vanier. Il nous a parlé des changements dans le Grand Nord lié à la poluution, avec une remarque originale : nous ne devons pas nous sentir coupable de ce qui arrive aujourd'hui. C'est la conséquence de ce que nous avons fait dans les décennies précédentes, alors que nous savions pas les mesurer. Mais maintenant, à nous d'agir "parce que nous ne sommes pas propriétaires de la Terre, mais des locataires qui auront à la remettre à nos enfants".

Un exposé très intéressant, pour nous sensibiliser à l'écologie. Bon, pour ma part il parlait à un convaincu, mais c'est bien qu'à travers des exemples concrets, l'un et l'autre se décide à agir.

Vins ensuite l'heure des activités : relaxation, marche dans la nature, jeux de rôles sur l'écologie, rencontre avec Nicolas Vanier, sport dans la nature, ... Bon, j'avais choisi relax, mais le Taî-chi il faut être un peu souple et avoir l'équilibre, et moi, humm !!
De retour des activités, l'apéritif était servi dans le bâtiment des soufflantes d'Esch-Belval où se déroule l'exposition All We Need. Au fur et à mesure des déambulations dans le circuit de visite sur les surexploitations de l'homme, les petits cake et autres apéritifs étaient servis.

Allez, un exemple d'art : un mur entier de "poissons chantants" narrant les effets de la surpêche.

Mon passage préféré, c'est la fin : pour decsendre tous les étages montés, il existe le chemin invers (long et fastidieux avec tous ces escaliers), ou alors ce toboggan :


Enfin la soirée s'est déroulée dans la Rockhal autour de différentes ambiances : piano-bar dans foyer, divers dans le Main Hall et House dans le club. Comme d'habitude, la nourriture était exquise (gaspachos, brochettes, verrines, paella, charcuterie, mouse aux chocolats ...

(Malheureusement), je me suis éclipsé trop vite à mon goût : Chiara étant malade avec plus de 39°C de fièvre, je me voyais mal rester faire la fête jusqu'au bout de la nuit.

Jeudi : Journée sans régime

Ce jeudi, notre secrétaire préférée était présente pour son dernier jour de travail avant septembre 2008. elle attend un petit gars pour novembre, et nous a offert pour son départ une journée spéciale :








Petit déjeuner fourni : pain, nutella (vraiment une femme exceptionnelle !!), confiture, jus de fruits, cake, petits fondants (encore chauds, merci Mélanie !!). Un régal !!!!



L'heureuse future re-maman (noir-blanc, jean) semblait émue de ne plus nous voir pendant un an.
Le repas de midi s'est transformé en une grande tablée de 22. Il y en a un qui était heureux, c'est le restaurateur. Le plus dur, cela a été d'enchainer avec le déplacement en clientèle : le ventre plein, c'est dur de ne pas somnoler après le repas !!

mercredi 12 septembre 2007

Une route pavée de bonnes intentions ...


Hier soir, c'était l'occasion pour les jeunes de l'ENA de se retrouver pour la rentrée et de parler de notre avenir. Déjà, le nombre des participants, malgré les annonces de participation d'avant réunion, a été satisfaisant pour moi : il y en a qui veulent faire encore des choses !!!

Alors bien sûr, on a eu le droit à un petit aperçu de Dusseldorf 2009, de ce qu'il va falloir meubler avec le stand, d'un petit bout d'organisation.

Et puis, avant d'arriver en 2009 (quoi que l'on risque d'y être vite), il faut s'occuper : actions chocolats, sorties, rencontres, repas, etc.

Cela fait plaisir de voir des activités lancées, des jeunes prendre l'initiative d'organiser, de se décarcasser. Reste juste à espérer que les présents restent motivés et arrivent à motiver ceux qui restent un peu en marge. Si on ne fait rien dans notre jeunesse, ce n'est pas en étant un frère ou une soeur lambda dans la cté que l'on va faire quelque chose de plus.
"En avant courage, ... " (RC393)

mardi 11 septembre 2007

un passager clandestin (ou comment gagner le record de vitesse dans sa catégorie)

Hier soir, c'était la reprise des répétitions de la chorale mixte : l'occasion de se retrouver dans ce cercle, comme chaque année scolaire.
Et comme après chaque effort, le réconfort, je suis parti chercher de quoi se restaurer et en revenant à la voiture, je me suis effrayé; le faible éclairage du parking a juste permis que je vois la silhouette de ce passager clandestin :

J'ai fait de lui l'escargot sur la carrosserie le plus rapide du coin (jusqu'à 80km/h, il a tenu le coup, puisqu'il était encore là à l'arrivée). Qui a dit qu'un escargot était forcément lent ? Lui en 10 minutes, il a fait Algrange-Hayange-Algrange. Pas mal, non !?!!

lundi 10 septembre 2007

Passer de mains en mains

Lorsque des petits enfants font la joie d'égayer une famille, chacun(e) des convives aime prendre les petits dans leurs bras. Pour une fois, il y a eu deux fois moins de discussions qu'à l'accoutumée :


Nadine et Clara
Sandrine et Romane


Elodie et ??


Laurence et ??
Pour une fois, ce ne sont pas que ces dames qui s'y collent :

Christophe portant Louis : alors ça fait quoi d'avoir un petit gars dans les bras ?


Et même David, qui semble beaucoup plus à son aise qu'avec Inès quand elle était toute petite.

Double Baptême


Ce n'est pas courant de voir des jumelles se faire baptiser. Et bien hier, c'était l'occasion d'en voir un. Clara et Romane ont étét baptisée hier à Algrange, à la grande joie de la famille et de l'assemblée réunie.
S'en est suivi un excellent repas et le traditionel gateau : un régal sur toute la ligne !!!

C'était même l'occasion pour Chiara de se faire de nouvelles copines.

samedi 8 septembre 2007

La famille s'agrandit (quelques précisions)

Lors de leur dernier voyage à Poitiers, Aline et Jérôme avaient adoptés 2 enfants qui posent sur la photo du dessous :

Trouvés sur une aire d'autoroute, ils les ont accompagnés pendant leur périple poitevin (je suis sûr qu'un jour, on aura un roman-photo des aventures des "enfants" à Poitiers).
Ils ont été ensuite laissés à leur nouvelle famille adoptive à Poitiers. Rendez-vous dans quelques temps pour un reportage "mais que sont-ils devenus ?"
Il y a aussi Gabrielle qui s'entraîne à être la grande soeur idéale pour la ou le futur membre de la famille.

Et bien, Aline et Jérôme ont aussi décidé de lancer un blog pour l'arrivée de ce petit bout de chou. Cela se passe par ici. Allez, à bientôt petit être !!

Soyez toujours joyeux ... Rendez grâces en toutes choses ...

C'est une partie du passage biblique qui était destiné aux mariés cet après-midi.
Je me suis fait cette réflexion que l'Homme se tournait très souvent vers Dieu quand sa situation se dégrade et devient très dur. C'est quasi un réflexe : une tuile m'arrive et quasi-automatiquement "mais pour quoi moi, bon Dieu ?".
Dès que les choses s'assombrissent, l'Homme se tourne vers Dieu, "s'il-te-plait aide-moi pour telle et telle choses. Sans toi, je n'y arriverai pas !!"
C'est je pense légitime, et la Bible en est truffé d'exemples. Mais là cela m'a évoqué de "rendre grâce à Dieu" aussi pour toutes les bonnes choses qu'il donne. Et là; l'Homme imbu de sa personne, se détourne et voit en ses joies, ses réussites, son intervention, la suite logique des actions humaines, alors que ne croyez-vous pas que Lui a sa part là-dedans ???
Allez, encore une autre pépite : "Priez sans cesse" : il n'est pas possible de prier à genoux sans discontinuer. C'est sûr !! Mais "la prière est la respiration de l'âme" : réfléchis-tu pour chaque respiration que tu prends ? non, c'est un réflexe. Prends-donc le réflexe de te tourner vers Dieu en pensée, régulièrement dans ta journée, même ne serait-ce qu'un soupir. Savoir que lui sait, c'est pas déjà un peu plus facile ?

Pourquoi aller aux obsèques d'une fille des voisins à mes parents ?

Lorsque j'ai appris le décès de la fille aînée des voisins de mes parents, cela m'a fait un choc. Non pas que je connaisse la défunte particulièrement car j'ai du l'apercevoir une dizaine de fois maximum. Elle était gravement malade, ne pouvait se déplacer toute seule, et je revois encore l'image de son mari la portant à bout de bras pour la mettre dans la voiture.
  • J'ai pensé à ces souffrances physiques qui ont été abrégés. Dans ce sens-là, Dieu, merci de l'avoir délivré de cela !!
  • J'ai pensé à ces enfants et son mari qui restent en arrière : ils ont aussi vécu sa croix au quotidien. Mais pour eux, la douleur de la séparation doit aussi être terrible. Je ne peux pas me la représenter, je n'ai ni perdu mes parents ni ma femme (Re-Dieu merci), mais je peux Lui en parler pour qu'il puisse aussi intervenir.
  • J'ai surtout pensé aux parents qui laissent partir un de leurs enfants, et là, je suis déjà un peu plus en mesure (n'en connaissant pas la mesure exacte non plus) de comprendre ce qu'ils doivent traverser : le soulagement de la fin de souffrance d'accord, mais aussi le fait de perdre le fruit de sa chair, son enfant, celui pour qui ils se sont sûrement pliés en quatre, on fait des sacrifices, .... Quand la mort frappe des enfants, cela ne peut pas me laisser indifférent, c'est comme cela.

Journée chargée



Premier samedi depuis la rentrée et un programme bien chargé :




La nouveauté pour cette année est qu'il faut être prêt pour emmener Chiara à l'école pour 8H30. Ensuite, je suis seul avec Louis, donc je peux de nouveau faire mes samedis matin dans les supermarchés pour les courses. Les seules contraintes : l'heure du prochain bib' et aller chercher Chiara à l'école.




Aujourd'hui, donc, je suis parti emmener Chiara à l'école : toute fière, je l'aide à enlever sa veste, ranger son sac, elle file s'installer à une table, et ça y est, elle est dans le bain. Apparemment, il y a des petits pour lesquels c'est encore pas ça (vive les séances de pleurs et les " Non, je veux pas y aller !!").


8H45, me voilà paré pour aller faire des courses : je n'ai jamais été aussi tôt dans un magasin !! Il ne faut pas traîner, Louis doit avoir le prochain biberon à 10H (-en sachant qu'il en boit un toute les 4 heures, je vous laisse réfléchir à quelle heure s'est terminé ma grasse mat' ce matin-).

Là, on rencontre Mamy Bernadette, en plein achalandage de stand : aujourd'hui c'est fromage. L'occasion de discuter un peu, et d'apprendre que les obsèques auxquelles je voulait me rendre débutent vers 10H30 le même matin, tout près de l'école de Chiara.

Deux minutes de réflexion, puis action, retour à la maison, rangement des courses, changement de tenue, bib' pour Louis, et c'est le départ.


J'arrive bien sûr en retard, la cérémonie a déjà commencé, Loulou est bien calme : allez, on va s'asseoir à côté de Papy Marcel. Loulou reste calme une demie-heure, puis il commence à râler. Sous l'effet de la belle acoustique des vieilles pierres, je me dirige vers la sortie. C'est justement l'heure de récupérer Chiara.


Retour à la maison, mise en route du repas (pour une fois !!), petite sieste réparatrice, et c'est reparti. Tentative de visite au Belvédère, mais la personne en question n'est pas là. Une indication, elle est à Thionville à Bel-Air. Il n'y a plus le temps d'y aller avant le mariage de cet après-midi. Ok, on tentera cela après le mariage.




Mariage donc, où l'on a était assez nombreux pour chanter (ouf, on a eu chaud). Et c'est reparti, direction Thionville pour arriver à faire la visite avant les repas.

Arrivée à l'accueil, et le réceptionniste qui ne trouve pas dans ses fichiers de traces (même en historique) de cette personne. Petit coup de fil : le transfert était du Belvédère à l'hôpital d'Algrange (juste à côté) et pas jusqu'à Thionville. Bon maintenant, c'est trop tard pour y aller.

Allez, ça laisse de quoi faire pour les autres jours !!!

vendredi 7 septembre 2007

Circonspection, prudence et réflexion avant action


Parfois, on prend des décisions hâtives, et l'on peut être amené plus tard à regretter ces choix. Mercredi chez Lui, il était question de faire preuve de prudence, de réfléchir avant d'agir.

J'ai tout simplement, repensé à un "vieux" SD (ne me demandez pas l'année, j'sais plus), où l'APD alors encore ancien, avait parlé de renoncer au but de notre foi.

"si tu décides ceci, alors aie le courage de prendre une feuille et d'y écrire que tu renonces, à ...., à ..., à ...)".
Parfois, on se brusque pour un point particulier, en oubliant tout le reste et on prend la mauvaise décision .... Aïe, ça sent le vécu !!!

jeudi 6 septembre 2007

Comment garder le bonheur dans son couple ? épisode 1 : partager équitablement son lit

Pour la majorité des couples partageant le même lit (apparemment 17% des couples français font chambre à part, c'est une nouvelle mode aux USA pour "mieux se retrouver"), il y a eu au moins une fois des remarques de l'un ou de l'autre pour s'êtr fait piquer l'espace dans le lit.


Trouvé sur le net, un article de chez Yazerty, des draps pour mettre fin aux disputes : avec sa règle imprimé, la subjectivité du milieu du lit est remplacé par une échelle. Attention, à ne pas dépasser la zone rouge !!
On trouve vraiment de tout sur le net ....

L'actualité en dessins satiriques

Pour avoir accès à l'information il existe une multitude de sites permettant d'avoir les dernières nouvelles fraîches du monde.





Le site Webmatin y ajoute une touche satirique, en illustrant souvent au deuxième degré les gros titres de l'actualité.

Un petit exemple sur la disparition de Steve Fosset dans le désert :



Anniversaire Laurine

... depuis dimanche, le temps a passé mais je n'ai toujours pas récupéré des autres photographes du jour la traditionnelle photo d'anniversaire, alors tant pis (je la rajouterais peut-être plus tard).


Le 2 septembre 2007, c'était donc l'anniversaire de Laurine, l'occasion encore de fêter. Cette fois-ci le temps n'était pas tout à fait avec nous : les filles ont pu aller jouer dehors ou encore se balader à la fête de Rentrée organisée au Chateau, mais nous avons manger à l'intérieur.


Les filles et leur part du gateau d'anniversaire : Laurine s'était souhaité des fondants au chocolat en guise gateau. Le seul hic a été de faire tenir la bougie plantée dans le chocolat tout coulant.

mercredi 5 septembre 2007

Dis papa, tu fais quoi au boulot ? (ou mon boulot pour les nuls)

... cela pourrait être une future question de Chiara. Et comme il y a plusieurs personnes de mon entourage qui ne comprenne pas ce que je fais au travail, je vais tenter un explicatif écrit. Lorsque les choses sont blanches sur noir, c'est parfois plus facile à assimiler.


Etape 1 : qu'est-ce qu'un fonds d'investissement ?

Lorsque tu as trop de sous sur ton compte, le banquier te propose de les placer à la bourse. Soit tu investis ton montant dans une seule société (Castorama par exemple).

Le problème est que si la société Castorama ne fait pas de bonnes ventes, etc, personne ne voudra acheter une partie de Castorama à cause de ces mauvais résultats et donc toi, si tu veux retoucher tes sous en vendant ta part de Castorama, tu perdras des sous par rapport à la mise initiale.

Alors, les marchés financiers ont créé des entitées dans lesquelles tu peux investir mais qui représentent plusieurs sociétés à la fois : c'est les fonds. Tu peux donc trouver un fond de tout type dans lesquels tu peux trouver du Castorama, du Carrefour, du EDF, du L'Oreal.

Le plus, c'est qu'en achetant une partie de ce fonds, tu détiens un peu de toutes les sociétés qu'il représente, et donc le risque des mauvais résultats de l'une d'entre elle sera peut-être contrebalancée par la bonne performance des autres. Le risque est plus "dilué".


Etape 2 : pourquoi faut-il vérifier ces fonds ? Qui le fait ?

Ces fonds sont gérés par des entitées et doivent publier des résultats une fois l'an. Si j'ai investi dans ce fond, qu'ont-ils fait des sous que j'y ai investi ?

Et bien, au Luxembourg, c'est une obligation légale de faire vérifier ces comptes par un cabinet spécialisé (les cabinets d'audits), pour que si l'entité me dit que le fonds a fait +50%, ils aient réellement fait + 50% et non pas plus et mis dans leur poche la différence.


Etape 3 : comment vérifie-t-on les fonds ?

La valeur d'un fonds reprend la somme des valeurs des titres qui le compose (la valeur de Castorama + la valeur de L'Oreal + la valeur de Carrefour + ....) auquel on ajoute les différents frais pour acheter ces titres, pour payer le personnel qui vérifie tout, etc.

Cependant la partie valeur des titres qui le compose prend souvent la très grosse majorité de la valeur. Donc en la vérifiant, on vérifie quasi toute la valeur du fond.

C'est là que notre équipe intervient : on prend une source neutre (que les clients n'utilisent pas) pour dire si on est d'accord sur la valeur des différents titres.


Etape 4 : et moi dans tout cela ?

Et pour faire cette comparaison, on utilise de très gros fichiers où l'on stocke l'information. Et on fait plein de tests sur ces fichiers pour voir si les informations sont correctes. Et moi, je me charge de faire régulièrement ces tests, et d'en inventer d'autres pour que l'on ait la meilleure qualité possible dans ces très gros fichiers.


un exemple fictif de liens entre gros fichiers

Etape 5 : et sans simplification ça donne quoi ?

Je travaille dans un des big four, dans une cellule de pricing, à la gestion d'une base de données interne.
Alors, cela vous paraît plus clair ou il y a encore des questions ? :-)

mardi 4 septembre 2007

Raison ou réaction primaire

J'ai connu les deux minutes du peuple de François Pérusse grâce à Franck. Et j'ai trouvé cela pas mal. Aujourd'hui en farfouillant sur Youtube, j'ai trouvé un des sketches mis en image. Pas mal, une fois passé le début.

Leur rentrée



Et oui, ce n'était pas que la rentrée de Chiara qujourd'hui, mais aussi celle de sa maman, qui va se retrouver devant ses nouveaux élèves.

Sa première rentrée

A vos marques, prêt, feu, partez !!! Voilà Chiara qui a mis un doigt dans les rouages de l'Education Nationale qui va l'emmener au moins pour 12 ans à l'école. Le sac est prêt, le blouson sur le dos : il ne reste plus qu'à y aller.


Petit tour pour trouver une place de parking, petite marche pour souffler un dernier coup avant la montée de la côte, la lecture des listes et en avant dans la classe.

J'ai eu beau regardé dans tous les coins de la classe, je n'ai pas trouvé Charlène (;-)). Le temps de poser la veste, le sac de mettre son étiquette autour du cou, Chiara file dans la classe. Je discute deux mots avec l'assistance maternelle, et je rejoins Chiara.

Comme je ne connaissais pas la maîtresse, j'ai eu un peu de mal à la situer, mais Chiara l'a trouvée tout de suite, pour discuter avec elle. Le temps d'essayer faire un petit tour de la classe, de repérer les feuilles et les crayons de couler, les puzzles, les petites voitures, les poupées, les briques à emboiter, Chiara voulait déjà aller s'asseoir pour dessiner. Juste le temps de contempler son premier escargot à l'école, de faire 1-2 photos, et je lui demande un bisou, et m'en vais. Pas de pleurs, pas de "non, reste avec moi", voilà notre Chiara comme une grande.
Il ne reste plus qu'à attendre midi pour savoir si tout le reste de la matinée a été aussi calme.



Il me reste que la paperasse à remplir, me rendre compte que depuis 2004, le temps a passé si vite, et que ma fille est forte.

Mine de rien, cela fait bizarre de la laisser à l'école. Mais bon, sois fort !!! C'est pas toi qui va donner le cafard aux petits !!!


Mention spéciale pour sa classe : apparemment la seule où ça ne pleurait pas quand je suis parti : du coup le photographe du Répu, a sauté sur l'occasion d'immortaliser la joie de ces petits.
Deuxième mention spéciale à Maman ou Tata Estelle qui a éduqué Chiara dans ce sens : dans la voiture, elle m'a dit que si des enfants pleuraient dans la classe, elle irait leur faire un bisou pour au'ils aillent mieux. Quel coeur !!!!

lundi 3 septembre 2007

Un moment de poésie

Pour un lundi matin pluvieux, rien ne vaut un peu de poésie.





Merci David.

dimanche 2 septembre 2007

La rentrée ...


... pour certains pleins de changements en perspective : changement de classe, d'établissement scolaire, de ryhme de vie, entrée dans la vie active, j'en passe et des meilleurs.


C'est peut-être vite dit, à l'un ou à l'autre, "ne te soucie pas pour ta rentrée, ça va aller tout seul". Cela a été pour moi l'occasion d'un petit flash-back en arrière, pour me souvenir de mes rentrées importantes :


  • Rentrée en maternelle : pas de souvenirs particuliers, si ce n'est que je ne voulais pas que ma mère m'accompagne jusque devant l'école : elle devait me laisser à l'entrée de la petite rue, et je continuait tout seul, sans me retourner (surtout ne pas se retourner pour ne pas pleurer. Un mec ça pleure pas !)..

  • De la maternelle au CP : je n'ai aucun souvenir, malgré le fait que je n'avais personne de mes camarades de maternelle dans mon école élémentaire (c'est ça d'être tout près d'une autre ville). A priori, rien de traumatisant.

  • de l'école primaire au collège : là non plus pas de souvenir particulier, si ce n'est la grande nouveauté d'avoir plusieurs profs, plusieurs salles de classe (mais comment on va faire pour savoir ou aller et quand ?).

  • du collège au lycée, la sortie du cocon nilvangeois où le cercle des amis été assez établi, et la remise en question de ces amitiés par les "interférences" des nouveaux amis qu'allaient avoir mes amis et qui allaient les détourner de moi. Le fait de partir toute la journée, sans rentrer, prendre le bon bus, pour pouvoir rentrer à la maison.

  • Les redoublements qui m'on fait perdre à chauqe fois les copains de classe : avec qui je vais me mettre en cours ? Qu'est-ce que je peux leur apporter ?

  • du lycée à l'IUT : la joie de prendre un peu d'indépendance, d'avoir une vie d'étudiant (très soft cependant). Le cadre enseignant, ne changeant pas trop, de ce côté-là, c'était cool. Je n'en ressort pas traumatisé.

  • de l'IUT à mon premier boulot (BoB à Luxembourg) : le stress de devoir parler anglais, de ne pas comprendre ce que l'on me dit. L'impression d'être un nul à la fin de la première journée, parce que je n'avais rien retenu, et pas compris grand chose au boulot que l'on attendait de moi.

  • du premier boulot à l'armée. Première journée assez colonie de vacances (promené d'atelier en atelier), avec le grand éclat de rire le soir : que me veut celui qui aboit devant nous tous ? Puis le stress : mince, il va falloir rentrer dans le rang. Dans quelle chambre vais-je me retrouver ? Les coups de fils forts en émotion à Fred ("Tu ne resteras pas à Bitche !!" - j'apprendrais plus tard de manière magistrale pourquoi Lui ne nous écoutes pas toujours), le mal à trouver mes marques.

  • de l'armée au premier entretien. C'est où ? Je dis quoi ? Je comprends rien à ce que le monsieur me dit. A l'aide.

  • du premier entretien à la première journée de travail : qu'est-ce que je fais là : je ne comprends rien. Pourvu que le gars qui parle en anglais avec un fort accent irlandais ne me demande rien. Le réconfort de trouver des collègues dans la même galère, et surtout celui de rentrer à la maison.

  • etc....

En y repensant a posteriori, on s'en fait une montagne, et finalement, on s'aperçoit que l'on est pas le seul à stresser, qu'il faut bien commencer un jour, et surtout que l'on est pas tout seul. LUI est là, et il veille aussi, même si sur l'instant on ne s'en rend pas tout de suite compte.

La rentrée : une nouvelle occasion de prendre des bonnes résolutions

Il est des résolutions que l'on prend, ou que l'on compte prendre, et qui sont en sommeil. Pour cette rentrée, c'est l'occasion de se bouger un peu, et de s'y mettre.
Ce matin, le programme a été donné : il ne faut pas compter sur l'autre pour que les choses évoluent, mais sur moi.
J'aime pas parler de moi, parce que quand on parle de soi, je trouve que cela fait nombriliste. Mais, j'ai ma feuille de route pour les mois à venir : faire tout ce que je peux pour que chacun se sente bien dans ma cté. J'y ait vécu de belles choses, me suis senti entouré aux heures difficiles de la naissance de Chiara, mais j'étais plus ou moins passif. Il va falloir que cela change.
Ce matin, il était question de ne pas seulement posséder une amorce de participation en soi, mais de réaliser des efforts en vue de participer plus activement. Bon, maintenant que c'est couché sur l'écran, il va falloir s'y tenir alors.