Pourquoi intituler un article "la scoumoune" et l'illustrer par un gâteau ? Tout simplement, parce que ce gâteau a une longue histoire frappée par le sort.
Pour le baptême de Timéo, nous apportons notre modeste contribution : un gâteau au chocolat à confectionner. Aline prend sa recette fétiche : le gâteau au chocolat-cannelle et ses pépites de chocolat. Jusque là ça s'annonce bien.
Retour donc au samedi après-midi, où le beurre et le chocolat n'attendent plus dans la jatte qu'à être malaxés : et c'est là que tout commence : le batteur électrique posé en équilibre sur le bord de la jatte, tombe sur le bouton de mise en marche, et c'est parti : la cuisine et la pâtissière sont constellées de chocolat !! On nettoie tout, on continue la recette, et vient le moment d'enfourner sans souci. Au bout de 30 secondes : "Mince, j'ai oublié la levure !!". Bon tant pis, il sera bien compact, et on le gardera pour nous.
Au bout de la cuisson, direction la grille pour refroidir.
Pendant ce temps, la pâtissière se lance dans la confection de la deuxième préparation : cette fois-ci tout y est : le beurre, le chocolat, la levure, la cannelle, et le chocolat râpé remplace les copeaux. La cuisson se passe à merveille. Il ne reste plus qu'à le démouler sur ... un plat en verre, la grille étant occupée Et Pan !! Sous la chaleur, le plat se brise, incrustant ses paillettes dans la chaude chair du gâteau.
Au secours !!! Résultat : plutôt que de tenter une troisième catastrophe, on prendra le gâteau sans levure : d'aspect extérieur normal, il se révèlera humide, juste comme il le faut à l'intérieur.
Entre temps, je vous passe l'épisode de l'enguirlandage de la patissière, le dimanche, par une personne qu'elle n'avait pas reconnu au magasin, qui avait fini de l'achever.
Il y a des jours, où il faudrait mieux rester coucher, et rester si possible loin des autres parce que cela se transmet ....
Retour donc au samedi après-midi, où le beurre et le chocolat n'attendent plus dans la jatte qu'à être malaxés : et c'est là que tout commence : le batteur électrique posé en équilibre sur le bord de la jatte, tombe sur le bouton de mise en marche, et c'est parti : la cuisine et la pâtissière sont constellées de chocolat !! On nettoie tout, on continue la recette, et vient le moment d'enfourner sans souci. Au bout de 30 secondes : "Mince, j'ai oublié la levure !!". Bon tant pis, il sera bien compact, et on le gardera pour nous.
Au bout de la cuisson, direction la grille pour refroidir.
Pendant ce temps, la pâtissière se lance dans la confection de la deuxième préparation : cette fois-ci tout y est : le beurre, le chocolat, la levure, la cannelle, et le chocolat râpé remplace les copeaux. La cuisson se passe à merveille. Il ne reste plus qu'à le démouler sur ... un plat en verre, la grille étant occupée Et Pan !! Sous la chaleur, le plat se brise, incrustant ses paillettes dans la chaude chair du gâteau.
Au secours !!! Résultat : plutôt que de tenter une troisième catastrophe, on prendra le gâteau sans levure : d'aspect extérieur normal, il se révèlera humide, juste comme il le faut à l'intérieur.
Entre temps, je vous passe l'épisode de l'enguirlandage de la patissière, le dimanche, par une personne qu'elle n'avait pas reconnu au magasin, qui avait fini de l'achever.
Il y a des jours, où il faudrait mieux rester coucher, et rester si possible loin des autres parce que cela se transmet ....
1 commentaire:
Je ne voudrais pas en rajouter une couche mais j'ai bien ri à la lecture des articles "scoumoune" ....Sinon à part cela, bon week-end??? :)
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