Allez, pour une fois j'ose une photo de moi avec les enfants (le nombrilisme me déplait beaucoup, mais ce sera l'objet certainement d'un autre billet).Comme le dit le titre, pour consoler Chiara, je lui ai proposé d'aller voir les moutons, qui paissent sur les prairies calcaires, sur le plateau d'en-face. Cela faisait longtemps que je voulais me promener là-haut, mais je n'avais jamais eu l'occasion, avec les enfants.
On se met en route, et c'est là que je me suis aperçu qu'avec des enfants, le rythme de progression est bien différent : problèmes dans la montée, dans les hautes herbes. Comme les moutons étaient un peu loin, on a pris un autre chemin, nous ramenant plutôt vers la voiture.
Comme dirait Aline, je partirai bien à la mer :
Alors pour le vent, sur ce sommet dégag, il n'y a pas de problème, on se croirait à la mer (les odeurs en moins). Par contre, il a fallu marcher quelque peu pour trouver l'eau (pour représenter la mer), mais on a trouvé. lol !!Bref, après une demi-heure de marche dans les cailloux, les chemins de terre, j'ai la bonne idée de redescendre mais par un chemin que je ne connaissait pas : au programme, grand dénivelé (avec petit en bandoulière, petit à la main, madame en sandale, etc....), herbes hautes, et ce satané chemin que je ne trouve pas. Et plus Aline pestait, et plus je riais. C'est ma défense, le rire. Nerveux, mais le rire .
Finalement, on a fini pas retrouvé le chemin mystère, bien goudronné, certainement accessible sans passer par les ronces, les herbes hautes.
Allez, c'était sans doute un dernier bout d'exotisme avant de reprendre le train-train quotidien dès lundi : eh oui, les congés, c'est fini !!! :-(
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