... par rapport à ce qu'il faut "souffrir" pour y parvenir. Les files d'attentes des bûches au Walygator m'auront rendu philosophe, quand à la sortie de l'attraction Emma m'a dit "comme ça va vite : on a attendu plus de temps que le trajet de l'attraction elle-même".
Dans la vie, il faut tant de luttes pour que tout reste beau, que les "mauvaises herbes" ne viennent pas polluer l'espace et que la plate-bande soit belle. Un beau gazon fraichement tondu, et déjà les premières feuilles viennent dénaturée ce beau spectacle.
Même dans les drogues, l'homme n'a pas trouvé la clé du bonheur parfait : le moment est peut-être plaisant (ch'sais pas, j'ai pas connu), mais le retour sur terre, la sensation de manque doivent être dur, comme les circonstances pour se procurer la prochaine envolée.
Même la "femme parfaite" de Cédric, nécessite un effort. C'est un fait hérité des premiers hommes (tu enfanteras dans la douleur, tu te nourriras à la sueur de ton front, etc...), et il nous faudra vivre avec. Cela pourrait même nous réconforter dans nos galères, à tout point de vue ...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire