Ce dernier week-end, a été riche en kilomètres : une formation pour Lui à Strasbourg samedi, Le servir dimanche matin à Charleville-Mézières et voilà quelques centaines de kilomètres avalées en deux jours.
Cela m'a fait repensé à l'évolution du ressenti des voyages depuis mon enfance :
- les 5 kms qui paraissaient si longs pour aller chez le dentiste, avec les points de repères : le viaduc, les croisillons de bois sur le côté pour maintenir la colline.
- le trajet de vacances : Nilvange-Lille coincé à 5 dans une Mini Metro.
- les trajets en voiture jusqu'à Nancy-Brabois ou Dommartin les Toul qui paraissaient interminables : le mal sous les cuisses de devoir rester assis, la lecture du Quid sur le trajet (je me demande comment je faisait, tellement c'est écrit petit).
- Et puis, en devenant chauffeur, les distances ne me dérangent plus. Mon plus gros coup, 270 kms tous les jours pour aller au travail puis à Nancy voir Chiara pendant les 2 premiers mois de sa vie.

Alors pour Lui, maintenant, la route ne me dérange plus.
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